Bariloche: Bienvenue en Patagonie
La ville Bariloche est notre porte d'entrée en Patagonie, cette région mythique de l'Argentine fait tant parler les voyageurs du fait de ses paysages d'une beauté rare et de le la route 40, la traversant du nord au sud, que beaucoup rêvent de parcourir à l'instar de la route 66 aux US.
Bariloche, c'est un peu le Chamonix du coin : une station de ski entourée de lacs et dans un décor de rêve digne des alpes suisses. Elle attire en masse les touristes argentins comme ceux du reste du monde. D'ailleurs, il y a tellement de brésiliens qui y viennent que la ville est surnommé 'Brasiloche'.
L'autre particularité de Bariloche et ses environs, c'est la forte communauté alémanique qui y a immigré. L'architecture des édifices et des églises n'est plus du tout d'origine coloniale espagnole. On voit pas mal de locaux avec des cheveux blonds, yeux bleu, moustache et avec une tête a s'appeler Günther ou Guerard. On retrouve aussi des noms de famille comme Otto ou Weiss. Il y a même des restaurant qui proposent dans leur carte entre la parrilla et les empanadas, la fondue. On trouve aussi un colonie suisse, des magasins de chocolat et des énormes Saint-Bernard pour compléter le tableau.
A notre arrivée, nous avons été accueillis par des trombes d'eaux et un vent froid à vous transformer en glaçon en quelques minutes. Je crois que ce qu'il a plu en quelques heures doit correspondre à la pluviométrie annuelle du Maroc. Finit le climat agréable de Cordoba et Salta, on a due ressortir les bonnets boliviens déjà rentabilisés sur le salar d'Uyuni. On été vraiment dégoutés car dans l'hémisphère sud, on est en plein printemps et, à entendre les gens du coin, ils n'avaient même pas vu un temps comme ça cet hiver. De plus, nous avions prévu de faire plusieurs balades dans le coin et on se voyait pas passer nos journées à l'hôtel.
Alors que nous espérions que la pachamama prenne en considération notre cas, il s'est mis à neiger et ça dura 2 jours. Sachant que nous passions sur place 3 jours, ça commençait a sentir le camembert : même si cette neige donnait un certain caché à la région, j'aurais préfère qu'il neige la nuit et qu'il fasse soleil le jour.
Mais au moins, tout ce manteau blanc qui tapissait la région le matin a fait la joie de 50% du couple. Bea, qui comme tout le monde le sait vient d'un village de montagne mais qui n'a pas l'option « nieve », était toute contente et émerveillée par tant de neige. Avec l'appareil photo, elle a mitraillée tout ce qui ressemblait de prés ou de loin à un flocon. Elle était tellement enthousiaste que j'ai même eu peur qu'elle aille se rouler dans cette poudre blanche. Par contre, elle n'apprécie que modérément les batailles de boule de neige.
On a quand même réussi à visiter le coin et faire quelques balades sous la neige et la pluie sauf notre dernière demie-journée, où le soleil à pointé le bout de son nez mais il faisait pas encore assez chaud pour quitter le bonnet bolivien.
En tout cas, Bariloche fut une étape dépaysante dans ce périple Argentin. Direction maintenant de Trelew sur la côte atlantique et toujours en Patagonie où nous avons rendez vous avec les baleines et les colonies de … pingouins cette fois ci.
Karim
Bariloche, c'est un peu le Chamonix du coin : une station de ski entourée de lacs et dans un décor de rêve digne des alpes suisses. Elle attire en masse les touristes argentins comme ceux du reste du monde. D'ailleurs, il y a tellement de brésiliens qui y viennent que la ville est surnommé 'Brasiloche'.
L'autre particularité de Bariloche et ses environs, c'est la forte communauté alémanique qui y a immigré. L'architecture des édifices et des églises n'est plus du tout d'origine coloniale espagnole. On voit pas mal de locaux avec des cheveux blonds, yeux bleu, moustache et avec une tête a s'appeler Günther ou Guerard. On retrouve aussi des noms de famille comme Otto ou Weiss. Il y a même des restaurant qui proposent dans leur carte entre la parrilla et les empanadas, la fondue. On trouve aussi un colonie suisse, des magasins de chocolat et des énormes Saint-Bernard pour compléter le tableau.
A notre arrivée, nous avons été accueillis par des trombes d'eaux et un vent froid à vous transformer en glaçon en quelques minutes. Je crois que ce qu'il a plu en quelques heures doit correspondre à la pluviométrie annuelle du Maroc. Finit le climat agréable de Cordoba et Salta, on a due ressortir les bonnets boliviens déjà rentabilisés sur le salar d'Uyuni. On été vraiment dégoutés car dans l'hémisphère sud, on est en plein printemps et, à entendre les gens du coin, ils n'avaient même pas vu un temps comme ça cet hiver. De plus, nous avions prévu de faire plusieurs balades dans le coin et on se voyait pas passer nos journées à l'hôtel.
Alors que nous espérions que la pachamama prenne en considération notre cas, il s'est mis à neiger et ça dura 2 jours. Sachant que nous passions sur place 3 jours, ça commençait a sentir le camembert : même si cette neige donnait un certain caché à la région, j'aurais préfère qu'il neige la nuit et qu'il fasse soleil le jour.
Mais au moins, tout ce manteau blanc qui tapissait la région le matin a fait la joie de 50% du couple. Bea, qui comme tout le monde le sait vient d'un village de montagne mais qui n'a pas l'option « nieve », était toute contente et émerveillée par tant de neige. Avec l'appareil photo, elle a mitraillée tout ce qui ressemblait de prés ou de loin à un flocon. Elle était tellement enthousiaste que j'ai même eu peur qu'elle aille se rouler dans cette poudre blanche. Par contre, elle n'apprécie que modérément les batailles de boule de neige.
On a quand même réussi à visiter le coin et faire quelques balades sous la neige et la pluie sauf notre dernière demie-journée, où le soleil à pointé le bout de son nez mais il faisait pas encore assez chaud pour quitter le bonnet bolivien.
En tout cas, Bariloche fut une étape dépaysante dans ce périple Argentin. Direction maintenant de Trelew sur la côte atlantique et toujours en Patagonie où nous avons rendez vous avec les baleines et les colonies de … pingouins cette fois ci.
Karim
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